La bête et l’animal
Après les deux blaireaux, le coyote Bush et son chacal de Ben Laden, j’ai envie de vous raconter, pour se détendre un peu dans ce monde de brutes, une histoire très bête :
La fouine c’est le surnom qu’on a donné à Max avec qui j’étais copain comme cochon. Il avait lourdement insisté, un jour, pour que je fasse la connaissance d’une petite caille aux yeux de biche. Il me disait :
- « Tu vas pas te dégonfler ! Cette poule a du chien, je te dis, c’est une vraie panthère, ne déconne pas, tu vas être transformé en crapaud ensorcelé d’amour par cette adorable chatte… »
La fouine m’admirait un peu trop. Il était aux petits soins avec moi. Il voulait coûte que coûte me coller une pouliche. Il disait toujours que j’étais fier comme un coq, fort comme un bœuf mais têtu comme une mule même si j’étais malin comme un singe…Il ne comprenait pas mon coté solitaire…Bon, bon…c’était un peu vrai… mais il disait aussi que j’étais un chaud lapin doublé d’une fine mouche…là, il exagérait un peu, quand même mon petit porcin ! Bref !
Sagesse
Pour avoir de la connaissance, ajouter des choses chaque jour.
Pour avoir de la sagesse, enlever des choses chaque jour.
(Tao Te King)
11 septembre : Contrat tacite.
Un ami m’a transmis ce contrat. Contrat que j’adopte pleinement en le transmettant à mon tour :
« Le 11 septembre marque le triste anniversaire d’une catastrophe hautement symbolique pour l’humanité. On déplore tous les morts que cette catastrophe a engendrés, engendre et engendrera. Peu importe nos croyances ou nos idées politiques, le système mis en place dans notre monde libre repose sur l’accord tacite d’une sorte de contrat passé avec chacun d’entre nous, dont voici dans les grandes lignes le contenu :